Are the new Yahoo! logos news?

yahoos


Last week, Yahoo! broke the news that they are going to update their iconic logo with the launch of a campaign leading up to the reveal of their new identity on Sept 4 called “30 Days of Change.” The change, according to Kathy Savitt, Chief Marketing Officer at Yahoo! is reflective of their last 12 months of business “There’s been a renewed sense of purpose and progress at Yahoo!, and we want everything we do to reflect this spirit of innovation. While the company is rapidly evolving, our logo — the essence of our brand — should too,” she added.

If headlines are any indication, there has indeed been a lot going on at the company. CEO Marissa Mayer hasn’t been shy, and she just finished her first year as head of the company with a shopping spree that concluded with $1.1 billion purchase of Tumblr. New leadership often signals big change, and what better way to make your mark than by changing the trademark itself?

As a brand-o-phile, I eat this stuff up. I love to see brands grow and change and read about the strategies behind the evolutions so I like the hoopla around this launch. Why shouldn’t brands celebrate their growth? As consumers become more savvy brand advocates and critics, it’s wise to acknowledge the change and invite them behind the curtain. My concern with Yahoo!’s launch promotion is that it reminds me of another internet giant’s much touted logo play. Google has been having fun with its logo for years, inviting designers to reimagine it on a daily basis. I feel, in fact, that they own this space. Yahoo!’s multi-logo campaign doesn’t seem like an original idea or fitting for a company who is trying to signal innovation.

Before you think I’m just another one of the Yahoo bashers, let me just add that my first email account was with Yahoo! and I still maintain that address. I’ve seen the company evolve, add features, go purple, and weather the fickle winds deciding whether it’s cool or not. As one of the very first search engines, Yahoo! set the standard for quirky company names back in 1994— four years before Google. The company may have stumbled in recent years but it’s still an internationally recognized brand and a much needed option in an online world shrinking one acquisition at a time. I don’t think they needed to borrow a page from anyone to rebrand themselves. They were, and are, the one and only (insert yodel) Yahoo!.

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Todd Metrokin is a Creative Strategist with Ogilvy Washington’s Creative Studio.
To read more, visit creativestudiodc.ogilvy.com

J’ai lu Gala

Je ne remercierai jamais assez ma salle de sport préférée de m’avoir offert Gala aujourd’hui. La souffrance musculaire m’a presque paru légère devant tant de détente. En notant au passage la densité du contenu people glam’. Comme je suis bon esprit, je partage ma lecture, suffisamment pour donner envie de plonger, pas trop pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte aux lecteurs assidus de Gala que vous êtes probablement.



En couverture, après m’être demandé à quel point la photo d’Elodie Gossuin a été photoshopée, c’est l’annonce d’une Roselyne Bachelot à la plage qui attire mon attention. Mais je résiste à aller directement combler ma curiosité, je commence par le début.


Je passe vite sur l’avis de Marc Jolivet concernant la médaille de commandeur des Arts et lettres de Bono parce que globalement, on s’en tape un peu de son avis à Marc.


C’est un BHL alangui au bord d’une piscine, chemise blanche ouverte, qui nous accueille pour le sommaire. J’hésite entre le rire et l’exaspération, du coup je ne lis pas le sommaire et continue sur le sommaire mode qui m’annonce que j’ai enfin bon goût : le bleu indigo que j’aime (enfin j’aime surtout le bleu klein) est à la mode, je saurai tout dans 70 pages !


Je reviens de Belgique, je ne peux pas ne pas lire intégralement cet article sur la naissance d’un couple royal dont j’ignorais tout : Philippe et Mathilde de Belgique, après l’abdication d’Albert II. Seule ombre au tableau de la photo de famille « affichant son bonheur » : la petite Eléonore, 5 ans, a raté son sourire et son mouvement de salutation de la main pour les transformer en crispation généralisée, laissant redouter une sévère gastro. Sinon, à part ça, ils ont l’air cool.


La page « flash express » nous sert une Mariah Carey tout en élégance (ahah) qui a su harmonieusement assortir son attelle -au bras- à sa robe. TRES joli (mouahahah). On découvre aussi que Louis Ducruet, fils de Steph de Monac et Daniel, a 20 ans et fait de la boxe comme papa. Hier à peine, il avait 2 ans, Louis, c’est dingue. Sans transition, Florence Cassez est qualifiée de « jeune lilloise de 38 ans », on relève aussi une petite faute d’orthographe (oublié les affres du passé ») mais je ne jetterai pas la première pierre hein.


La page suivante nous révèle les 5 raisons de penser que Jennifer Aniston est (enfin) enceinte, alors que, franchement, la photo d’illustration fait tout le boulot : main sur un ventre clairement rebondi. Moi je trouve qu’on aurait pu gagner du temps mais bon…


Page 18, encore des flashs express, et là, c’est le choc : on est en train de perdre Johnny Depp qui s’est mis au vernis à ongle. Gala et moi, on sait pas trop quoi en faire, donc on joue l’effarement. Et on préfère le travail réalisé sur Helena Bonham Carter pour la transformer en Liz Taylor. En revanche, la petite photo d’Helena au naturel en médaillon n’est pas trop bon esprit, attention, l’esprit Voici nous guette…


La page 20 m’apprend ce qu’est un « crop top ». Si vous savez pas non plus, allez voir (mais c’est pas beau hein, si je peux donner mon avis d’expert vite fait).


Enfin sur le premier gros sujet : Elodie Gossuin attend ENCORE des jumeaux, « une grossesse désirée qu’elle vit comme un miracle », mais on sait pas trop pourquoi. Elodie, elle aime bien montrer son ventre à la Une de Gala, c’est son truc quoi. En attendant, c’est drôle de revoir Bertrand qui avait participé à Opérations séduction sur M6 il y a 10 ans, ce que ne rappelle pas Gala, heureusement que je suis là…


Du mariage de Tina Turner, à 73 ans, on retient qu’il a eu lieu dans la propriété des nouveaux époux, à Küsnacht en Suisse. Voilà. Hum. Voilà voilà.


Des 2 pages sur Marie Gillain, on retient qu’elle a 38 ans, j’avais oublié qu’elle avait vieilli depuis « Mon père, ce héros ». Et on se moque gentiment de la photo en équilibre visiblement instable dans une tenue peu appropriée. Mais gentiment on a dit.


On passe vite sur la rencontre de Norbert avec sa femme (manque juste l’avis de Marc Jolivet pour qu’on s’en tape intégralement) et on s’arrête sur Sharon Stone qui, à 55 ans, a « enfin choisi un homme mûr ». Le précédent sérieux, Phil Bronstein, n’était pas de première jeunesse si on se souvient bien mais faut bien trouver un titre vendeur…


En découvrant la photo qui illustre l’article sur Nicolas Sirkis, je pense immédiatement aux Inconnus et à « Isabelle a les yeux bleus ». Déconcentration ultime. Je passe, du coup.


Si la comparaison entre Rihanna avec Liz Taylor semble sortie de nulle part, l’article finit par convaincre.


Olympe a été élevé par ses grands-parents, ok, mais 24h avec BHL nous attendent. L’occasion de se souvenir que Bernard vouvoie toujours Arielle, après 20 ans de mariage. On a beau le savoir, ça intrigue toujours. Mais Bernard « n’aime pas parler de sa vie privée » nous dit-il. On prend bonne note.


Le capitaine de l’équipe de rugby Thierry Dusautoir nous présente sa femme. Où l’on apprend que le mariage est un défi. Bien intéressant tout ça…


Pour nous prouver qu’il est « loin d’être parfait », Hugh Jackman nous explique dans l’interview qui suit que les cheveux dans son tshirt chez le coiffeur le contrarient énormément. On relit. Non non, il aurait vraiment dit ça. Priceless.


Un autre « Hugues » prend le relais pour nous révéler son histoire d’amour impossible avec Edith Piaf, décrite plus que jamais comme une chaudasse mangeuse d’hommes.


Enfin, page 60, Roselyne Bachelot nous invite à la plage, à Biarritz. Mention à la tenue bariolée de la page suivante, il semblerait que les stylistes de D8 l’aient lâché pour l’été, Roselyne. Vivement la rentrée.


Les 4 pages suivantes permettent à Catherine Allegret d’en remettre une couche sur « les actes » de Montant sur lesquels Signoret aurait fermé les yeux. Plus personne n’est là pour se défendre hein.


Une heure plus tard, nous n’en sommes qu’à la moitié du magazine. Quelques courts-circuit sur les pages mode s’imposent donc : en feuilletant sur le bleu et en notant le mannequin qui multiplie les duck faces, on tombe sur une Shakira méconnaissable qui nous annonce le lancement d’une eau de toilette à son nom. Misère.


Déco, cuisine et jeux précèdent « les soirées de Gala » avec plein de gens dont on ne sait plus ce qu’ils font d’autre, que des soirées…


Je vous laisse les découvrir. Si j’ai bien fait mon boulot, normalement, une envie irrépressible de foncer acheter Gala vous a envahi depuis quelques minutes. Bonne lecture.

Voyages en image

De 4 mois à enchaîner les voyages, la plupart pour le travail, il reste quelques images sélectionnées ici en mode carte postale.


Tout a commencé en avril avec une semaine de rêve en Israël et mon coup de coeur absolu pour Tel Aviv où je retournerai forcément un jour.



J’ai ensuite réalisé l’un de mes rêves en participant au Festival de télé de Monaco avec des stars mythiques de série télé, à commencer par le casting intégral de Dallas.



Après un détour par Tunis, c’est en mode parenthèse enchantée que j’ai découvert Bordeaux qui m’a surpris par sa dynamique et sa modernité.



En juillet, je suis parti 3 jours à Los Angelès, une ville que je n’aime pas beaucoup mais où je retrouve toujours des gens qui me manquent à Paris. La visite du musée The Getty Center et du mail aux accents de Disneyland The Grove m’ont un peu réconlié avec la ville cette fois-ci.



De Los Angelès, je suis parti directement à 1h de Marrakech, dans un oasis au coeur de l’Atlas Marocain. Travail et Yoga étaient au programme.



Je suis ensuite parti à la découverte d’une autre ville française que je ne connaissais pas. Même si je soupçonne notre hôte de ne nous avoir montré que le meilleur, je suis tombé sous le charme de Marseille et de son bord de mer en particulier. Un coup de coeur pour Les Tamaris, resto du bout du monde qui m’a même fait apprécier le poisson dans un décor proche du paradis. Et le MuCEM, aussi inratable que sa réputation le prétend.



Entre les deux, pas mal de voyages à Londres dédiés exclusivement au travail et quelques retours en famille, à Besançon, chat et chien compris.



Mais j’ai aussi profité de Paris et des amis tout l’été, en particulier entre le 1er et le 15 août, le meilleur moment pour se détendre à Paris (et aussi organiser des Singstars et apéros surprise…). L’occasion aussi de noter qu’il faut que je prenne plus de photos de mes amis <3



The New Normal of the Internet of Things

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The subtle alternative to the tin foil hat


In the wake of PRISM, New York Times takedowns and spying London rubbish bins, people on the Internet don’t feel that secure any more… at all. Business Insider published an article recently saying the days of truly private email conversations are over. A new trend in “countersurveillance fashion” has sprung up (see above image), and New York’s New Museum is opening a ‘privacy gift shop’ for September.


One of the clients Zeitgeist works for is about to get heavily involved in Machine to Machine (M2M) communication, otherwise known as the Internet of Things (IoT). Intel were making themselves heard last month at an event in London’s Spitalfields Market on the subject. And earlier this month, the exemplary blog GigaOm published an article entitled “How can we design an internet of things for everyone (not just alpha geeks)?”. This new development, which includes self-driving cars, fridges ordering milk for you when you run out without being asked, potentially brings with it ideas of a utopian world of interconnected devices that do your bidding.


But such potential is now seen in a different light, post-PRISM. The first two user comments, screengrabbed below, were a grim reminder of the new normal, where such a utopian future has already been tarnished by abuses before it even arrives.


newnormalPRISM

The likes of PRISM and xKeystroke have arguably completely reversed the libertarian premise of the Internet



Filed under: Uncategorized Tagged: Alpha Geeks, Business Insider, Countersurveillance fashion, Fashion, FT, GigaOm, Instagram, Intel, Internet of Things, IoT, It's nice that, London, M2M, Machine to machine, Media Metrica, New Museum, New York, New York Times, PRISM, Privacy, Rubbish bins, SEA, Spitalfields, Spitalfields Market, Surveillance, Syrian Electronic Army, xKeystroke

Elodie Frégé

J’aime vraiment Elodie Frégé. Et c’est pas nouveau. Ce qui l’est plus, c’est que j’ai maintenant le sentiment que nous devrions être des millions.


Autant j’avais aimé son album précédent avec une conscience absolue de sa capacité limitée à toucher le plus grand nombre, autant je ne comprends absolument pas qu’il n’arrive pas la même chose à Amuse-Bouches qu’à Racine Carrée, dernier opus de Stromae (qui m’a scotché, comme tout le monde).



Pour la critique, je ne ferai pas mieux que tous les autres, de Télérama à RTL pour prendre 2 extrêmes : des rythmes Bossa Nova tendance Yéyé, des textes sensuels mais jamais vulgaires, une voix qui sait désormais porter une frivolité grave mieux que personne.


Si je ne comprends pas que l’album d’Elodie ne soit pas numéro 1 des ventes depuis le 24 juin, jour de sa sortie, c’est que tout a été mis en oeuvre pour que l’album ne passe pas inaperçu : un plan média implacable, de belles prestations à la guitare dans quelques programmes phares, un bon premier single porté par un bon clip gonflé…



L’album cacherait-il des faiblesses derrière ce puissant « Comment t’appelles-tu ce matin ? ». Même pas. Tous les titres de l’album me plaisent, avec un coup de coeur particulier pour « Pique-nique sur la lune » et « Dans l’escalier » en prochain singles. La reprise de Gainsbourg « La fille qui fait Tchic ti tchi » lui sied également à merveille (expression des années 70, laissez-moi).


C’est donc sur la longueur qu’Amuse-bouches finira par cartonner, c’est une évidence, ne résistez pas plus longtemps.


PS : au fait, Elodie, ce matin, je m’appelle ERIC hein.

Brands at Social Media Matters in Hong Kong


Social_Media_Matters_Hong_Kong 2013


Next week is our second annual
Social Media Matters conference in Hong Kong. Last year, Thomas Crampton and
our Social@Ogilvy team worked with event organizers from All That Matters to
create a regional event designed specifically around the interests of brands in
digital and social media.


I have the good fortune of introducing
our Global Brand Advocacy Study (supported by CIC, Salesforce, Visible)  and provoking a great panel of brands including
IHG, Shangri-La International and IMAX. The study looked at what people share and
care most about from brands in China, Brazil, the UK and the US.  Since I am a fan of all three brands, I look
forward to hearing how each goes beyond simple social network engagement to
cultivate their best advocates.



  • This year’s highlights at Social
    Media Matters are brand and platforms. Coca-Cola, Ford, Philips, Nestlé,
    American Express and Unilever, among others will all be in the house.

  • Platforms including RenRen, Sina, Twitter,
    LinkedIn, and Facebook among others will also be there.

  • And, of course, great partners
    like CIC, SocialBakers, and Visual.ly and more.


If you can make it to Hong Kong on
September 10th, do join us. All of the information is here. I and my
colleagues will be publishing great content via social.ogilvy.com and
ogilvydo.com
.



Facebook New Promotion Guidelines

Facebook introduced a new Promotions Guideline, outlining that third-party apps are no longer a requirement for competitions. This now allows competitions to be held on the Timeline of brand pages, and use ‘likes’ as a voting mechanism.


While this offers more flexibility for competitions for brands, apps are still an option and will still have its merits (ie. collecting personal information from users etc.)




Key implications include: 



  • Simpler mechanic for competitions

  • Shifting away from third-party apps, and greater focus on content

  • Competitions directly contributing to page engagement


Read the full guidelines HERE




Fourni par Blogger.